La fin des haricots

C’est vraiment fini, il n’y a plus rien (plus d’argent, plus d’espoir…).

On trouvait à Paris  sur la montagne Sainte-Geneviève un collège connu pour la sévérité, la rude discipline et les pauvres repas constitué souvent de haricots. Le haricot était considéré comme un aliment de base, voire médiocre.
Le collège, à la révolution devint prison mais conserva le nom Hôtel des haricots que les étudiants lui avaient donné.

Or les prisonniers terminaient souvent sur l'échafaud : c'était la fin des haricots.